Il y a toujours quelque chose de nouveau en médecine", a déclaré Collins.


Il y a toujours quelque chose de nouveau en médecine", a déclaré Collins.

"La menace potentielle la plus horrible est que je puisse transmettre la maladie aux patients, à ceux-là mêmes que j’ai juré de protéger", a-t-il déclaré.

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Gerd Clabaugh, directeur du ministère de la Santé publique de l’Iowa, a annoncé mardi qu’il prévoyait de prendre sa retraite le 31 juillet, selon un communiqué de presse du ministère.

Clabaugh, qui a été nommé par le gouverneur Terry Branstad en 2014, a déclaré dans le communiqué qu’il se retirait de ses fonctions publiques pour passer plus de temps avec sa famille et rechercher de nouvelles opportunités non précisées.

"Cela a été pour moi un honneur de servir les administrations des anciens gouverneurs Branstad et Reynolds", a déclaré Clabaugh dans le communiqué. « Je suis très fier du travail du personnel de l’IDPH pour soutenir la réponse du gouverneur Reynolds à l’épidémie de COVID-19, et j’ai hâte de continuer à soutenir le travail de réponse à l’épidémie de l’IDPH jusqu’à mon départ en juillet.

Le gouverneur Kim Reynolds a remercié Clabaugh pour ses services et lui a souhaité une bonne retraite.

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"Sous le mandat de Clabaugh, l’Iowa a renforcé la réponse aux maladies infectieuses, consolidé les systèmes de collecte de données de santé critiques pour améliorer leur durabilité et dirigé l’agence vers l’obtention de l’accréditation nationale", a-t-elle déclaré dans le communiqué.

Clabaugh a refusé de répondre à d’autres questions du registre. Polly Carver-Kimm, porte-parole de l’IDPH, a adressé toutes les questions concernant la retraite de Clabaugh à Pat Garrett, directeur des communications du gouverneur Reynolds. Garrett n’a pas immédiatement répondu à un e-mail demandant des informations supplémentaires.

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Le gouverneur Kim Reynolds a nommé jeudi un haut responsable de la santé du Texas pour diriger le département des services sociaux de l’Iowa, une décision qui, selon le gouverneur, intervient après une recherche nationale.

Reynolds, une républicaine, a déclaré qu’elle avait choisi Kelly Kennedy Garcia pour occuper le poste de directrice du département des services sociaux de l’Iowa après avoir réduit un bassin de candidats compris entre 30 et 40 personnes provenant de plusieurs États. Garcia entre en fonction le 1er novembre.

"J’ai adoré sa passion. J’ai adoré son énergie", a déclaré Reynolds à propos de Garcia. "Elle a beaucoup parlé de rassembler l’équipe, de s’assurer qu’elle disposait des outils dont elle avait besoin pour faire le travail. Et cela, en fin de compte, servir les citoyens de l’Iowa."

Garcia est actuellement commissaire exécutive adjointe de la Commission de la santé et des services sociaux du Texas, où elle supervise les services de santé, de développement et d’indépendance de l’État.

Garcia remplace Jerry Foxhoven, qui a démissionné de son poste en juin. Il a depuis déposé une plainte pour libération injustifiée de 2 millions de dollars contre l’État en raison des circonstances entourant son départ.

Le nouveau nommé a passé 15 ans au sein du gouvernement du Texas

Garcia occupait ce poste au Texas depuis mai , selon un communiqué de presse publié au printemps au sujet de sa promotion. Elle travaillait pour la commission de la santé du Texas depuis 2013 et pour le gouvernement de l’État du Texas pendant 15 ans. Pendant son séjour au Texas, elle a travaillé comme chef de projet et analyste principale pour une agence qui élimine le gaspillage, la duplication et l’inefficacité du gouvernement. Elle a également été conseillère principale de l’ancien gouverneur du Texas, Rick Perry, un républicain.

Garcia gagnera 154 300 $ par an en tant que directeur du DHS, selon le bureau du gouverneur. Elle recevra également une « prime de rétention » unique de 50 000 $, bien que Pat Garrett, un porte-parole de Reynolds, n’ait pas expliqué ce que cela impliquait. À un moment donné, Garcia gagnait 195 000 $ par an en tant que directeur adjoint de la commission de la santé et des services sociaux au Texas, selon une base de données compilée par le Texas Tribune .

L’un des emplois de Garcia liés aux soins de santé au Texas, selon le bureau de Reynolds, était celui de chef adjoint du Bureau des programmes et services, qui supervise le programme Texas Medicaid, les opérations d’éligibilité et la santé comportementale et mentale. Le Texas dispose d’un programme Medicaid privatisé qui a récemment fait l’objet de critiques concernant la prise en charge de certains patients .

Reynolds a déclaré aux journalistes jeudi qu’elle n’était pas inquiète de ces informations.

"J’ai hâte qu’elle vienne, rassemble son équipe et commence à résoudre certains des problèmes qui encombrent le ministère des Services sociaux", a déclaré le gouverneur.

Garcia est titulaire d’un baccalauréat en gouvernement de l’Université du Texas à Austin et d’une maîtrise en service public et en administration de la Texas A&M University, selon le bureau du gouverneur.

Remplacer après une polémique

La nomination de Garcia intervient un peu plus de deux mois après que Foxhoven a été invité à démissionner le 17 juin. Gerd Clabaugh, directeur du ministère de la Santé publique de l’Iowa, a exercé les fonctions de directeur par intérim.

Pendant le mandat de Foxhoven, le programme privatisé Medicaid de l’Iowa, supervisé par le département des services sociaux, a été critiqué à cause d’informations faisant état de services réduits. Le programme Medicaid dessert 600 000 résidents pauvres ou handicapés.

Indépendamment du programme Medicaid de l’Iowa, le DHS supervise également plusieurs institutions, dont le Glenwood Resource Center et l’Eldora Boys State Training School. Glenwood a enregistré une augmentation du nombre de décès d’Iowans gravement handicapés. Un procès fédéral intenté par d’anciens étudiants d’Eldora affirme que des fonctionnaires ont violé les droits des adolescents en les plaçant à l’isolement ou en les attachant avec un dispositif en velcro et en cuir. Le ministère a défendu sa gestion des services dans les deux institutions.

"J’ai été très cohérent sur le fait qu’il s’agit d’une personne nommée par le gouverneur, est-ce un poste à volonté et il y a plusieurs facteurs qui ont motivé ma décision d’aller dans une direction différente", a déclaré Reynolds mercredi soir.

Le mois dernier, Foxhoven a déposé une demande de libération injustifiée de 2 millions de dollars auprès de la Commission d’appel de l’État. Cette action pourrait conduire Foxhoven à intenter une action en justice.

Garcia a besoin de la confirmation du Sénat

La nomination de Garcia est soumise à l’approbation du Sénat de l’Iowa lorsque les législateurs reviendront pour la prochaine session législative. Bien que les Républicains disposent de la majorité à la Chambre, les Démocrates disposent toujours du pouvoir législatif leur permettant de rejeter les nominations des gouverneurs.

Les démocrates ont critiqué le DHS et sa gestion de Medicaid et des services de santé dans l’État.

La chef de la minorité sénatoriale Janet Petersen, D-Des Moines, a publié jeudi une déclaration qui dit en partie : "Comme la plupart des Iowans, les démocrates du Sénat espèrent que le nouveau directeur du DHS de l’Iowa aura le courage d’aider le gouverneur Reynolds à changer fondamentalement de cap."

Reynolds a déclaré à plusieurs reprises qu’elle souhaitait emmener le département dans une nouvelle direction, mais n’a pas défini ce que cela signifie.

"Je ne vais pas être prescriptif en disant ‘Faites ceci, faites ceci, faites ceci’", a déclaré le gouverneur. "J’apporte son expertise au ministère, quelqu’un de l’extérieur qui peut lever le capot et examiner ce qui se fait actuellement et rechercher des opportunités pour le faire de manière plus efficiente et plus efficiente."

Barbara Rodriguez couvre les soins de santé et la politique pour le Registre. Elle est joignable par courriel à [email protected] ou par téléphone au 515-284-8011. Suivez-la sur Twitter @bcrodriguez .

L’hôpital Mayo Clinic de Phoenix a été nommé l’un des 20 meilleurs hôpitaux du pays pour 2017-2018 par US News & World Report.

Le « Tableau d’honneur du meilleur hôpital » annuel de la publication, publié lundi soir, a classé les 20 hôpitaux qui ont surpassé tous les autres dans son examen basé sur leurs performances dans une variété de spécialités.

L’hôpital Mayo Clinic, dans le nord-est de Phoenix, s’est classé n°20. C’était la première fois que l’hôpital de Phoenix figurait au tableau d’honneur et la première fois qu’un hôpital de l’Arizona figurait dans le top 20.

L’hôpital a également été classé n°1 en Arizona et dans la région métropolitaine de Phoenix dans l’analyse globale de la publication.

La clinique Mayo de Rochester, dans le Minnesota, où se trouve le siège du système de santé, a été classée n°1.

Les domaines dans lesquels l’hôpital de Phoenix a été cité pour exceller comprennent : le cancer ; cardiologie et chirurgie cardiaque; les oreilles, le nez et la gorge ; gastro-entérologie et chirurgie gastro-entérologique; gériatrie; néphrologie; neurologie et neurochirurgie; orthopédie; pneumologie; et urologie.

« Des reconnaissances comme celle-ci témoignent de notre personnel compétent et compatissant qui accorde la priorité aux besoins des patients chaque jour », a déclaré le Dr Wyatt Decker, vice-président et PDG de la Mayo Clinic en Arizona, dans un communiqué préparé.

Decker a noté que Mayo avait également établi ses efforts d’enseignement et de recherche dans la région de Phoenix.

La Mayo Clinic s’est établie en Arizona lorsqu’elle a ouvert sa clinique de Scottsdale, 13400 E. Shea Blvd., en 1987. L’hôpital Mayo Clinic de Phoenix, situé près de Loop 101 et de la 56e rue, a ouvert ses portes en 1998.

La Mayo Clinic emploie environ 6 800 personnes en Arizona et traite près de 105 000 patients chaque année.

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"Beaucoup de nos patients demandent ‘le petit vieil homme aux cheveux blancs’", a déclaré Espi Arispe, une infirmière autorisée à la clinique des femmes. "C’est dur pour beaucoup d’entre nous qu’il prenne sa retraite. Il va beaucoup, beaucoup, beaucoup nous manquer."

Arispe a déclaré que Collins suscite le respect des patients, y compris des jeunes adolescentes enceintes qui se retrouvent sous sa garde et qui sont parfois réticentes aux conseils des adultes.

"C’est autre chose. Je l’ai vu parler à des jeunes de 16 ans et je ne les ai jamais vu lui manquer de respect", a-t-elle déclaré.

Le travail de Collins à la clinique des femmes consiste à prendre soin des femmes avant et après l’accouchement. Il ne donne pas naissance à des bébés.

La première retraite n’a pas tenu

La première fois qu’il a pris sa retraite, Collins avait 69 ans. C’était en 1988, lorsque lui et sa femme, Shirley Collins, une agente immobilière, ont quitté l’Illinois pour s’installer à Scottsdale.

"J’aime ce que je fais", a déclaré Collins.

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En 2009, alors que Collins avait 89 ans, le système de santé intégré de Maricopa l’a nommé médecin de l’année.

En 2011, alors qu’il avait 91 ans, le Collège américain des obstétriciens et gynécologues a décerné à Collins son prix Pete et Weesie Hollis Community Service pour sa contribution aux communautés mal desservies et son dévouement à la santé des femmes.

"Son travail est sa passion", a déclaré Shirley, 80 ans, qui conduit son mari pour se rendre au travail et en revenir depuis 11 ans, même si ce n’est pas parce que son mari ne pouvait pas conduire ou conserver son permis.

Il a simplement décidé qu’à 88 ans, il valait mieux que quelqu’un d’autre conduise, dit-elle.

Des avancées médicales significatives au cours d’une longue carrière

Collins a été témoin de nombreux progrès et changements médicaux depuis qu’il a obtenu son diplôme de médecine à l’Université Northwestern en 1947. Parmi eux figurent l’introduction de la pilule contraceptive, l’avènement des échographies et le passage des dossiers papier aux dossiers de santé électroniques.

"Il y a toujours quelque chose de nouveau en médecine", a déclaré Collins. "Ça ne devient pas obsolète."

Le plus grand changement dont il a été témoin est l’augmentation du coût des médicaments, dit-il.

"Quand j’ai débuté en pratique privée en 1947, une visite à domicile coûtait 3 $ et une visite au cabinet, 2 $. Maintenant, qui sait ?" » a-t-il dit, ajoutant qu’il n’avait pas de solution au problème.

Collins maîtrise parfaitement l’utilisation du système de dossiers de santé électroniques Epic du système de santé et dit qu’il aime relever le défi d’apprendre de nouvelles technologies. Il a passé de longues périodes à parler au téléphone avec le service informatique, les connaît par leurs prénoms et les félicite pour leur patience qui l’a aidé à comprendre.

"S’il ne comprend pas quelque chose, il n’abandonne pas", a déclaré Shirley.

Outre son ordinateur de travail, Collins possède un ordinateur de bureau à la maison, un ordinateur portable, un iPad et un iPhone. Il aime apprendre, dit-il.

"Il est inspirant pour sa diligence à se tenir au courant", a déclaré Mary Ellen Kenworthey, une infirmière praticienne qui travaille avec Collins depuis trois ans.

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